CUIR OTTOMAN
eau de parfum
Cuir puissant et irisé, concentré de sensualité orientale
Cuir embaumé d’iris, facetté par le ciste et réchauffé par le styrax brûlé, qui entraîne dans son sillage les notes enivrantes des parfums orientaux – baume de tolu, résine de benjoin et larmes d’encens… L’effluve devient opulent avec le jasmin d’Égypte, puis s’arrondit avec la vanille et la fève tonka. Et le CUIR OTTOMAN se fait chair alanguie offerte aux vapeurs du hammam…
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EN SAVOIR PLUS...
Rare en parfumerie car son caractère affirmé en fait le sillage des connaisseurs, le cuir est l’une des notes de prédilection de Marc-Antoine Corticchiato.
Il en a ciselé son interprétation personnelle autour des effluves fumés du styrax brûlé et du bouleau.
La piste de l’empire ottoman lui est soufflée par l’histoire millénaire du cuir en Anatolie – jusqu’au 19ème siècle, les cuirs turcs étaient les plus prisés.
Et c’est en apprenant que très souvent, l’odeur de ces cuirs était adoucie par celle, plus poudrée, de l’iris qu’il pare sa composition de ce précieux matériau qui présente déjà des facettes cuirées…
Les baumes et les résines des Mille et Une Nuits s’imposent pour alanguir l’accord. Larmes d’encens et résine de benjoin aux accents vanillés appellent la vanille, qui forme avec le ciste le cœur des parfums orientaux…
La fève tonka leur prête ses accents gourmands ; sa facette tabac épouse le cuir tout en évoquant la fumée paresseuse des narguilés.
Pour achever d’enivrer ce cuir d’Orient, un jasmin d’Égypte à la chair blanche et opulente comme celle des odalisques aimées des peintres, de Delacroix à Matisse, déploie ses effluves hypnotiques…
L’Orient n’est-il pas toujours rêvé ?